Aller au contenu

Evo Morales expulse l’ONG américaine USAID de Bolivie

Il y a quelques semaines le 15 mai 2013, Evo Morales chasse USAID de Bolivie.
Evo Morales – pour ceux qui ne le savent pas – a un lien étroit avec l’Afrique, ayant oeuvré aux
côtés de Mouammar Kadhafi, Thomas Sankara et Hugo Chavez pour soutenir Nelson Mandela
dans sa lutte contre l’apartheid durant toute sa captivité. Il a été un des premiers à obtenir le Prix
Kadhafi des Droits Humains ou Droit des Peuples après Nelson Mandela en 1998 et les Enfants
Opprimés de la Palestine en 1999, lui-même suivi du Pope d’Alexandrie, ensuite par Hugo
Chavez et Recep Erdogan.


Les vrais raisons en étaient que Mouammar Kadhafi oeuvrait avec tout son génie et avec
toute sa générosité pour l’indépendance de l’Afrique. Lui avait compris que c’était la seule issue
pour la liberté, la dignité, l’épanouissement et la survie des peuples de son continent. Le colonel
Kadhafi a construit des écoles et des hôpitaux dans de nombreux pays africains, mais il a fait bien
plus que cela. En 1992 peu après la montée du téléphone cellulaire, l’Europe exigeait 500
millions de dollars d’impôt de l’Afrique pour rendre possible aux populations africaines l’emploi
du cellulaire au prix à la communication le plus élevée au monde. C’est ainsi que l’Occident
créait de nouveau une dette colossale à l’Afrique, grimpant exponentiellement avec les taux
d’intérêts surfaits que l’Europe pratique pour l’Afrique. M.Kadhafi a mis fin à ce supplice en
2006 en installant lui-même le premier satellite africain, rendant pour toute l’Afrique la
téléphonie cellulaire d’un coup la moins chère au monde, sauvant aussi ainsi indirectement des
millions d’africains, encore plus qu’avec les dizaines d’hôpitaux qu’il a construit. Ensuite, la
Chine et la Russie l’ont rejoint, cette fois en cédant leur technologie, permettant ainsi le
lancement de nouveaux satellites.

Kadhafi travaillait à la création du Fond Monetaire Africain, de la Banque Centrale
Africaine et de la Banque Africaine Des Investissements, pour lesquelles il avait libéré 30
milliards de dollars. Le Fond Monétaire Africain doit remplacer toutes les activités sur le sol
africain du Fond Monétaire International qui avec seulement 25 milliards de dollars de capital a
pu mettre à genoux tout un continent pendant des décennies. Le Fonds Monétaire et la Banque
Africaine d’Investissements devaient entrer en fonction en année 2011. Ne serait-ce pas une des
autres raisons cachées pour lesquelles S.E. Kadhafi devait disparaitre, parce qu’enfin il allait
réussir à faire vivre l’Afrique ?

Kadhafi oeuvrait pour l’Union Africaine, tout en construisant patiemment « Les Etats
Unis d’Afrique », une autre raison pour laquelle il devait disparaître.

Mais l’action la plus forte de Mouammar Kadhafi a été celle de la résistance contre
l’apartheid, c’est-à-dire contre le racisme des blancs vis-à-vis des humains d’autres couleurs en
Afrique du Sud. Pendant de très nombreuses années S.E. Mouammar Kadhafi a soutenu de toutes
les façons possible Nelson Mandela en prison, alors considéré par l’Occident comme un
dangereux terroriste de l’ANC. A peine sorti de ses 27 années d’emprisonnement, pour remercier
son ami Kadhafi, la première action de Nelson Mandela a été de convaincre le Président Bill Clinton à lever l’embargo de l’Occident contre la Lybie qui durait depuis six longues années,
mettant le pays au bord de la famine, que le Président Clinton a dû à contrecoeur accepter.

En 1998 Kadhafi créa à Genève le Prix Al-Ghadafi des Droits Humains (ou droits des peuples).
Le premier lauréat en 1999 fut Nelson Mandela, suivi en 1990 par ‘Les enfants de Palestine, puis
par le Pope Shenouda III d’Alexandrie, Evo Morales, Hugo Chavez pour ne citer que les plus
connus, et pour terminer en 2010 par le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, le prix
n’étant plus octroyé depuis l’assassinat de Mouammar Kadhafi en 2011 .

Comme dit le dicton « Qui se ressemble se rassemble ! » : D’un côté les oppresseurs
esclavagistes modernes avec leurs valets africains aimant l’argent de sang, de l’autre côté les
héros libérateurs voulant vraiment de tout leur coeur le bien-être de leurs peuples !